Traverser le larynx jusqu’au plancher des basses
Le long de la colonne, doucement, elles vibrent,
Oscillent les cellules des structures sur leur voie.
Puis se taire
Descendre encore plus bas, tout au fond du bassin
Où les basses s’enfouissent et réveiller le sable
Bienfaisant, aux grains chauds.
Monter au crâne en pointe aussi haut que possible
Et s’étonner toujours des courbes en dessins
Dans les sphères angéliques.
Puis se taire
Au plafond du bonheur, en larmes il s’écroule
Et les fréquences alors déferlent en pluie stellaire
Les échos de brillance ravissent au delà
Du souffle physique.
Se remettre à chanter comme on reçoit la balle
Projetée depuis les cavernes-océans
Jusqu’aux nuages éthérés puis dans nos mains
Familières de l’émerveillement.
Franck
A reblogué ceci sur Marie des vignes.
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Bonsoir Franck j’ai fait longtemps partie d’une chorale, j’aime chanter, et vos mots résonnent très bien en moi, il faut s’échauffer la voix comme on s’échauffe les muscles pour faire du sport, bien respire c’est primordial, et encore faut-il tout ressentir comme vous l’avez si bien décrit, sauf que… c’est pas facile Bonne soirée amitiés MTH
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