Nous soulignons souvent que la mort physique n’est pas le contraire de la vie…
Pourtant, je me sens l’instigateur de cette perspective.
C’est sous ces traits de crayons sur le carnet que je la comprends.
Elle est une porte par laquelle la vie passe.
Le contraire de la vie, la mort au sens spirituel, est la stagnation, la rupture dans la fluidité, la lourdeur des coeurs et les souffrances attenantes. Le Christ met fin à cette mort-là.
Il serait malhonnête de ne pas laisser libre cours au parallèle qui émerge en moi lorsque j’ecris ces lignes.
L’enseignement-racine du Bouddha sur la fin de la souffrance à laquelle mène l’application des résonances subtiles et diverses du non-attachement.
La dyamique de transmutation du monde, du large monde qui naît suite à cette compréhension, prend la forme de la compassion, d’amour pour le prochain.
– ©FJ Dec 2021
Recueils / Participations
Telegram (Publications et Pratique)
Notes & Silence 