Le phare de l’homme s’est éteint. A moins qu’il ne soit apparu.
Le Bouddha brille sans faille d’un soleil toujours neuf.
Le phare est toujours posé au sol
Et le ciel est mon orient.
Toujours le phare sur l’écorce terrestre
Et c’est au coeur que j’habite.
©FJ August 2022 —
Groupe de Pratique
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