Comme une fleur pourritComme une fleur pourrieJe vais mourir et je suis mort. Comme l’obscurité nuitComme l’obscurité-nuitMa vie se meurtLa mort me vit Comme l’obscurité

Comme une fleur pourritComme une fleur pourrieJe vais mourir et je suis mort. Comme l’obscurité nuitComme l’obscurité-nuitMa vie se meurtLa mort me vit Comme l’obscurité
Ton doigt, en circuit lent et veloutéAux contours de mes oreillesRabattues par les vents. Aux carreaux de la nuitLa pluie d’automne ruisselanteMon corps détendu et
Quand les vents froids de la nuit ont desséché chacune des couches qui te recouvrent,Tremblant sous les assauts de glace, la peau craquelle et commence
Lorsque l’absence de sens,Dans laquelle tous se noient, Est détectée par les capteurs,Restent l’ennui, le chagrin. Restent l’ennui, le chagrinPour éteindre l’absenceQui s’obstine à poser
Les mots sont fainéants. Il faut souvent les bousculer un peu pour qu’ils travaillent bien.Laissés à eux-mêmes, ils s’accolent les uns aux autres en suivant
Le zen fait l’union entre les situations les plus banales et les plus profondes,Entre le trivial et les enseignements ésotériques les plus riches. Dans la