1 Un genou,un coude,une épauledans la lumière d’un bougiele reste du corps en postureinvisibleavalé par l’obscurité 2 Le bouddhisme que je voiscelui dont je te

1 Un genou,un coude,une épauledans la lumière d’un bougiele reste du corps en postureinvisibleavalé par l’obscurité 2 Le bouddhisme que je voiscelui dont je te
J’écris, un pas après l’autre,je chemine un stylo à la main,Sur une feuille sans chemin, Je serpente en lettres lacetsMon sac de motsPlus léger chaque
La Voie Du Bouddha tient ensemble ces deux mondes.La force des conditionnements, lancée depuis des ères incalcaculablesEst implacable. Elle détermine la réalité de tous et
La religion est une dôme mental où scintillent des diodes artificielles.Bruit visuel rendant inaccessible le firmament. Nul autre que toi ne lance la roue d’ignorance,comme
Certains arbres, nous dit-on, s’éveillent la nuit.Ils fournissent, en scintillant, le cadre d’existence à toute une peuplade d’êtres qui s’agitent alors tandis que sommeille notre
A la pliure interne du cou,C’est là que perle enfinL’entropie congénitale. Dans cet endroit secret.Tourné vers moi, seulement,A la défaveur d’un angle au miroir,Mes yeux
Dans l’épaisse jungle de vieillesseAu travers de laquelle j’avance,Les branches des arbres, les ronces des buissons,Les animaux fous qui courent en sens inverseAbîment, trouent, arrachent
J’ai croisé son regard de lumière,L’éclat sortant de ses yeuxS’est reflété dans les miens Vérité nueBonheur sans fard La reconnaissance a eu lieuUne seconde ou
L’oiselle nourrit l’oiseau en dehors du temps et le nid est offert sans retour à celui qui s’y pose.Faire Zazen dans la nature et se
L’ombre du feuillageDepuis le jardin, par dessus la clôtureOndule lentementVent printanier Frappé de beautéEt doute éteint Traverser la vie à piedSur un tel cheminSaupoudré de
Le faire perd.L’ultra-faire anéantit.Dans les mousses agitéesDe l’action désorientéeS’amassent les poussières de compensation.Elles se condensent en boule jaillissante de feux follets. Et tout ce temps
Cette force mentale, il faut la rassembler sous le joug d’un harnais.C’est déjà là une grande diffficulté, tant chez certains les chevaux peuvent être jeunes,
Tant que tu ne résides pas dans l’absolu, tu es en fuiteNe te mets pas en quête de l’absolu, car alors tu fuieraisIl faut que
D’indicibles bruits déciment les forêts de mes nuits.Les habitants, ancestraux, résidents amicauxFuient vers d’autres noirceurs silencieuses.La pluie acide des non-ditsEffeuille les d’attitudesEt de nécessités.Amicaux, pourtant,
Tant que les poussières des sables voleront devant ses yeux.L’homme cherchera toujours à joindre les points, à figer le mouvement pour dessiner le paysage. Zazen.