Au final, de l’autre côté des stratégies de gestion des évènements,
Au travers des idéologies et des contorsions cognitives, des intégrations émotionnelles au forceps, des recadrages d’urgence et des positionnements compensatoires,
La seule chose dont nous disposions lorsque les phénomènes s’irritent, se précipitent et s’emballent
est le pouvoir du calme.
Non pas un calme-outil, manufacturé, assemblé en urgence à la faveur des recommendations opportunes des magazines ou d’un grossiste en recommendations,
Un calme véritable, profond, que nous n’avons pas fréquenté, avec lequel nous sommes devenus familiers, en marchant sur le chemin de l’assise silencieuse,
Non pas un calme qui s’affiche ou un calme d’opposition,
Un calme qui accueille,
un calme transparent.

🤍🤍
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Oui il y a bien ces deux calmes
il y a le silence (c’est bon, relax, tranquille)
et le Grand silence
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Bonjour Frédéric
Merci pour ce passage…
Certains habitent ce Grand Silence au travers du bruit.
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absolument
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