La tente au matin et l’herbe mouillée
Mon pied qui s’arrête net.
Le soir en rejoignant la cabane
Il m’enseigne encore en frottant la terre sèche.
Cela ne peut être supplanté, cela est tout l’univers.
Le reste s’agite au loin,
Comment pourrait-il un jour m’attraper ?
