La mise en mots, par sa propriété de cristallisation du réel, sert l’homme autant qu’elle le dessert.
D’un côté, elle lui offre un prise sur le fugace, le mouvant, le complexe.
Par ailleurs, elle est par nature parcellaire, inapte à rendre compte fidèlement.
La ‘lingui-graphie’ est une photo du monde, elle n’est pas le monde.
