Ce n’est pas ce que tu liras dans tes yeux intérieurs qui te sauvera, mais le fait même de lire ces flux.
Pas l’objet, mais le processus.
Les clés de toi et des autres que tu sauras déchiffrer dans les textes codés des pensées n’ouvrent pas la première porte du chemin de retour.
Celle-ci s’entrouvre lorsque tu observes ces flux pour ce qu’ils sont sans réellement questionner les remous.
Questionner les remous, c’est encore naviguer parmi eux.
Au loin, les remous que tu observes depuis le rivage,
font naître le sable des rivages de fraîcheur sous tes pieds.
Gratitude aux remous pour les rivages.
Notes & Silence 