J’ai de ces promenades, baignées de grâce, où chaque pas, chaque virage
Est lieu d’émerveillement.
Sur le chemin, pourtant, mille fois emprunté,
Éclot une joie offerte,
l’arbre aux feuilles traversées du soleil d’automne
Au sommet du muret recouvert d’herbe et de mousse,
L’eau épaisse sous le vieux pont rouillé
Tout fait sens,
Sand qu’un mot ne soit prononcé,
Ni qu’une pensée n’ose rompre le tissu du monde.
©FJ August2024
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