Lorsque je récite le mantra, la phrase, le nom, je peux m’éloigner (m’approcher) suffisamment pour embrasser par la conscience celui qui récite.
La pratique alors n’est plus tant la récitation que l’observation des paroles qui se récitent.
J’accueille cette pratique en moi je l’invite et la laisse œuvrer, raconter ses récits, je n’interviens pas, je la respecte.
De la même manière, je peux observer
La prière,
L’assise…
Ainsi, les pratiques se déroulent en moi,
Par cette disposition de conscience, ce recul, cette présence au fond, je fais de mon corps mon champ intérieur, le temple où se réamorce les rituels, où le sacré se dépose, s’épanouit.
Mon temple de conscience acceuille mon temple de conscience,
Le temple de conscience se révèle à l’oeil intérieur, le divin qui perle en chaque instant quelle que soit la pratique.
Ce champ de conscience enseigne que la justesse de pratique, la modalité d’accueil compte plus encore que la nature de cette pratique.

Très bien!!
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Merci …bon week end à vous !
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