Même si le monde semble s’obstiner à tout faire pour le contraindre à oublier, le corps connaît zazen, et dès qu’il cesse d’être conduit ici ou là, dès que personne ne le surveille ou ne lui ordonne telle ou telle façon de se tenir,
Il retourne de la même manière que le cheval en proie à de récentes frayeurs, lorsque celle-ci se calme, ou dès que l’homme qui le tient souhaite le ceindre et le dresser fait preuve d’inattention,
Il retourne à l’écurie.
©FJ OCT 2024
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