Je n’en reviens toujours pas
du courage qu’il faut au pratiquant pour voir de l’interieur, que toutes les religions, toutes, charrient un amas de poussière rendant au pèlerin la respiration naturelle impossible.
Il faut qu’il s’en éloigne, qu’il passe au travers du nuage des poussières, des concepts, d’agencements théoriques, des kits dogmatiques des receptacles de projections psychologiques, …
Mais quel courage !
Et quel esprit d’aventurier !
Il devra aussi en subir les conséquences sociales, psychiques : absence de grilles, de structures pour s’y poser, s’y reposer,
Absence de reconnaissance.
Il faut aussi que cela cesse pour lui d’être un coût à payer et devienne le nécessaire indicateur de sa traversée du nuage.
©FJ OCT 2024
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