Pour s’engager dans le conflit, il est nécessaire d’habiter au bord de son esprit.
Celui qui vit retiré, en retrait du bord de la falaise ne risque pas le conflit,
Il ne le connaît pas,
Ni ne s’en retrouve écorché,
lorsque les lames du conflit viennent violemment se fendre sur les arêtes de son être,
Ceci vaut pour le conflit mais également pur l’anxiété, l’angoisse, la souffrance en général.
Le bord de la falaise de l’esprit est l’arête de l’identification,
l’identification est l’autre face de l’attachement.
