La respiration perce le plancher des mots.
Écrire que la respiration perce le plancher des mots,
voilà qui est blasphématoire.
Écrire qu’il est blasphématoire de dire que la respiration perce le plancher des mots
vide l’abcès du blasphème et appelle sans attendre à la fermeture du carnet.
Passer la porte du silence,
puis revenir
