Quand je dis “écouter le silence”Comprends-tu les deux cotés de la pratique ? Sans écoute,Même au beau milieu du plus pur des silences, La rencontre

Quand je dis “écouter le silence”Comprends-tu les deux cotés de la pratique ? Sans écoute,Même au beau milieu du plus pur des silences, La rencontre
Bien que réalisant que Cela est au-delà des motsNous utilisons des mots pour appeler Cela. Partie 1Partie 2 ©FJ April 2022Recueils — ParticipationsTelegram (Publications et
Première Partie : Lien 1 : Entendre l’appel2 : Réaliser que cela a toujours été un appel Ici, 1 et 2 ont été des étapes successives nécessaires
Sans aucun doute, maintenant que je repense à ce qui a fait ma vie ces 15 denières années,il y a eu un appel.Voyons ce que
Il peut être éclairant de tenter de comprendre ce qui se joue derrière l’utilisation du pronom possessif dans « mon » Dieu ou « notre Dieu »,Observé depuis l’intérieur,
-Du côté Chrétien, Musulman, Juif, notamment, Dieu est le créateur du monde,-Du côté Bouddhiste, le monde est une illusion. Ces termes ne semblent pas conciliables,
Si dans le Zen et dans le Christianisme catholique, évangélique, notamment, on retrouve le même ton péremptoire, la même folle assertivité, cela est plutôt bon
Méditation et prière,La Conscience et l’ÂmeBrahman et Dieu, La percée véritable donne à voir la bêtise des querelles de chapelles.Celui qui m’a jeté dans les
“Ton coeur te condamneDieu est plus grand que ton coeur” (St Jean) En zazen, j’apprends ce que cela signifie que d’ « être plus grand que
Le Soutra de la Grande Sagesse (Soutre du Coeur), est l’expression la plus profonde de la nature divine.L’Hannya Shingyo : espace infini de l’amour divin.Elle
En zazen, il y a un sacrement du pardon. Aux autres, bien sûr, celui que l’on entrevoit.A nous aussi, celui que l’on reçoit. Le coeur
Les nuées de pensées, qui embuaient la vue et nous faisaient tourner en cercle dans le même quartier mental, alors que nous étions convaincus de
En amont, la grâce de l’appel,Lancé dans le couloir de la foi,Ligne inaliénable. La graine, l’esprit d’éveil, Plantée depuis le non-tempsLa nostalgie sans objet,Vissée au
Dieu est cette beauté,Toute simple, douce,Le grain du réel,Inimitable et permanentqui attend ma présence. C’est devant cette simplicité,Vers cet accueil permanent que je m’incline. ©FJ
Assis au milieu de l’herbe,Respirer, écouter la respiration,Pose la question : Où est Dieu ? Là, ici, entre toi et la respiration, dans cette respiration