Pourquoi toujours écrire, lorsque tout semble être dit ? Parce que tout n’est jamais dit, tant que l’on est inscrit dans la temporalité.Lorsque je dis « l’obscurité
Pourquoi toujours écrire, lorsque tout semble être dit ? Parce que tout n’est jamais dit, tant que l’on est inscrit dans la temporalité.Lorsque je dis « l’obscurité
J’ai vu des articles en graines, flash compact, hors du temps, Je les plante dans le champ de la page blanche.Les sillons du stylo tracté
L’écriture est une photographie. Avec quelques traits de lumière, j’imprime le papier. Le reste du temps, je vis dans un épais nuage d’obscurité. La lumière
Le vent dans la voile du stylo soufflesouffle toujours vers l’Est. Après tout, l’exception recèle la règle, le marginal devient le modèle et le gaucher,
Saisir le stylo, Quoi faire d’autre ?Je ne sais pas manier l’épée, ni agiter prestement les poings. Saisir le stylo de désespoir, creuser de sa pointe
Arrive le temps où l’écriture n’est plus qu’une intention dans un bouillon psychologique puissant.Elle s’observe, aiguë, vive.Elle manque la mise en mouvement de tout le
Je m’assois…je lis,J’écris,Je lis,Je m’assois,J’écris Voilà ma pratiqueA ce jour,Elle comporte encore deux élémentsAmenés à s’éteindre. « Je lis,J’écris, »Sont les caisses de résonance de l’assise.Ce sont
Une règle sûre pour celui qui souhaite manipuler les gens et ne pas avoir à en payer les conséquences pour ce qui est de la
Tous ces ecrits :L’eau du robinet, ouverte après les gros travaux dans la rueA la fois boueuse, claire, jaillissante, elle retrouve son débit régulierpuis abreuve, purifie
S’asseoir en zazen et traverser les textes qui demandent à être écrits.. Même celui ci. ©FJ July 2022 —Groupe de PratiqueRecueils — Participation
Ces écrits ne visent pas à enseigner le monde depuis une je-ne-sais-quelle prétention sans fondements.Ce sont des notes pour moi-même, prises à l’emporte-pièce, dans l’urgence
J’écris, un pas après l’autre,je chemine un stylo à la main,Sur une feuille sans chemin, Je serpente en lettres lacetsMon sac de motsPlus léger chaque
L’écriture initie volontiers le passage du spectre mental au peigne fin.Constat de cornerisation,Echappée belle dans la brêche de lumière qui se dessineà l’encre intime entre
Jean 5, 30“Mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté mais la volonté de celui qui m’a envoyé” L’assise, parfois : chercher
L’écriture est l’alibi de la vie intérieure.Sur la feuille, cette vie affleureLe papier lui donne raison d’être. Même si elle n’a nul besoin de raison