Une nature ultimeSous-tend toutes les naturesDes éveillés de tous les lieux et âges,Cette nature ultime n’est pas différente de la nature de tous les bouddhas.Elle
Une nature ultimeSous-tend toutes les naturesDes éveillés de tous les lieux et âges,Cette nature ultime n’est pas différente de la nature de tous les bouddhas.Elle
La volupté des pensées se donne à voirDans les volutes de fuméeLe porte encens referméEst le mental. Il les retientSans retenir, et accumule,Sous le couvercleLa
Le monde contemporain s’obstine à brouiller les eaux de l’âme et à les entretenir.Maintenir dans cet état de tourbillon… Ainsi, l’être est maintenu éloigné de
Lorsque l’on met la spiritualité en perspective, que l’on englobe en un plan multidimensionnel, toutes les traditions par lesquelles la spiritualité s’exprime,on découvre nécessairement un
N’y aurait-il pas une dimension prophétique au psaume 55 ? Extrait :« En effet, il n’y a pas de changement en eux, ils ne craignent pas Dieu.Il porte
Le paradigme du Zen est tellement simple qu’on en oublie parfois le sacré de chaque assise,Le vertige de chaque prosternation,L’éveil sous chaque pas,La pratique du
Il est très possible de pratiquer l’assise comme on se déguise en Père Noël derrière la vitrine d’un magasin.Es-tu encore, malgré tout ce temps passé,
La religion vise à fournir un cadre, un interface à glisser entre l’esprit agité et la réalité du monde,Tel comportement sera observé derrière ce cadre
Le passage prolongé dans les sentiers escarpés du Zenm’a permis d’exprimer l’authenticité bafouée de l’êtresans filtre, sans manières, en cela, le respecter,de fatiguer le trop
L’important est l’assisenon pas les textes dans lesquels elle se reflète,assise, lune,texte, doigt. N’oublions pas. ©FJ Nov 2024Recueils / Participation/ Groupe
Ce n’est ni Dieu, ni Bouddha, ni personne que tu n’honores pas en ne t’inclinant pas réellement.C’est cela en toi qu’encore une fois, tu n’habites
Je ne suis pas devenu bouddhiste, au sens où il ne s’est jamais produit dans ma vie un moment où j’ai été mis en relation
En zazen, je me tiens en honneteté,Lorsque, par une “heureuse coincidence”, dans la cacophonie des instrumentsLes silences correspondent,Dans ce trou de silence,Je peux entendre la
Partie 1Partie 2 Ici, rien ne commence, rien ne finit,Ici, tu étais déjà avant d’être,Ici, contemplaltion,Ici, la fabrication n’épuise pas. Les yeux, les oreilles, le
C’est toujours le souffle qui tisse la marche et l’assise en une seule pratique.Par le souffle, la marche et l’assise ne sont pas deux pratiques.