Sur ma peauLa flamme de bougieApporte la savaneCouleur de brousseDoucement abandonnéeDe soleil couchant.La lumière transformeLes ridules du tempsOmbres de sagesseLes reliefs de veines.En voies fluvialesIrriguées

Sur ma peauLa flamme de bougieApporte la savaneCouleur de brousseDoucement abandonnéeDe soleil couchant.La lumière transformeLes ridules du tempsOmbres de sagesseLes reliefs de veines.En voies fluvialesIrriguées
Cette vie anesthésiéeLittéralement dégénéréeOff-track, dévoyéeGuidée par la seule entropieSous les broyeurs du tempsMécaniques. Est-ce à dessein qu’elle se dilue ?Faut-il donc à la fin qu’il
Arrivera le jour,Nécessairement, il faut que ça arrive,Où les occupations qui remplissent aujourd’hui,La vie et auxquelles tu te tiens,Dans les remous du soir avant d’espérer
Avec zazen, les années comptent à l’envers.La cataracte disparaît avec l’assise. Dogen, parlait du temps qui coule du présent vers le passé.Quelle vision était la sienne
Le fait que deux récits dans la Genèse racontent une forme de cosmogonie différentes se suivent est un enseignement en soi. Une remise en perspective de
Ce qui me donne envie de pleurer : – Les leurres d’existences présentes : les heures alignées par dizaines de milliers et passées à prétendre