Par ce que tu perçois comme oisiveté, papilllonage,j’oeuvre en réalité à la complétude de mon être. L’oisiveté : j’observe le boulier de la vie sous

Par ce que tu perçois comme oisiveté, papilllonage,j’oeuvre en réalité à la complétude de mon être. L’oisiveté : j’observe le boulier de la vie sous
La meilleur façon de ne pas vieillir est de cesser de lutter pour ne pas vieillir.Ainsi, en vieillissant, nous ne vieillissons pas.La sortie du processus
Il y a des gens qu’il est si facile de ne pas aimerLa Voie du Bodhisattva n’est pas une voie facile. Il y a des
La complétude que l’on fantasme lorsqu’en se retrouvant, on contemple nos jeunes années, n’existe pas dans le passé.Elle n’existe qu’au présent.Le fantasme est le fruit
A la pliure interne du cou,C’est là que perle enfinL’entropie congénitale. Dans cet endroit secret.Tourné vers moi, seulement,A la défaveur d’un angle au miroir,Mes yeux
Chez la personne vieillissante, après un certain seuil, il semble que l’âme se soit déjà à moitié retirée. Qu’est ce que cela signifie ?Peut-on être quelque
Dans l’épaisse jungle de vieillesseAu travers de laquelle j’avance,Les branches des arbres, les ronces des buissons,Les animaux fous qui courent en sens inverseAbîment, trouent, arrachent
De l’intérieur, je commence à connaitre les réserves de tristesses inattendues.Elles se sont accumulées dans les tonneaux craquelés de la vieillesse qui s’excuse. Ce pourrait
Ce sont les ‘Entretiens de Houang Po’ qui me font le plus rire, surtout lorsque personne n’en saisit l’humour. J’éprouve un plaisir d’enfant lorsque, lors
Le faire perd.L’ultra-faire anéantit.Dans les mousses agitéesDe l’action désorientéeS’amassent les poussières de compensation.Elles se condensent en boule jaillissante de feux follets. Et tout ce temps
En amont, la grâce de l’appel,Lancé dans le couloir de la foi,Ligne inaliénable. La graine, l’esprit d’éveil, Plantée depuis le non-tempsLa nostalgie sans objet,Vissée au
Sur ma peauLa flamme de bougieApporte la savaneCouleur de brousseDoucement abandonnéeDe soleil couchant.La lumière transformeLes ridules du tempsOmbres de sagesseLes reliefs de veines.En voies fluvialesIrriguées
Cette vie anesthésiéeLittéralement dégénéréeOff-track, dévoyéeGuidée par la seule entropieSous les broyeurs du tempsMécaniques. Est-ce à dessein qu’elle se dilue ?Faut-il donc à la fin qu’il
Arrivera le jour,Nécessairement, il faut que ça arrive,Où les occupations qui remplissent aujourd’hui,La vie et auxquelles tu te tiens,Dans les remous du soir avant d’espérer
Avec zazen, les années comptent à l’envers.La cataracte disparaît avec l’assise. Dogen, parlait du temps qui coule du présent vers le passé.Quelle vision était la sienne