Ce qui suit est une note rapide après avoir écouté une intervention du philosophe Michel Foucault.
Elle n’a pas la prétention à refléter sa pensée. Simplement, elle relaie l’écho que celle ci a eu en moi.
Foucault déclarait qu’il n’est jamais venu enseigner quoi que ce soit.
L’approche qui était la sienne, lorsqu’il entrait en salle de classe était de venir partager la teneur de son travail devant les étudiants.
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Cela neutralise l’image du « prof prof«
(Dans un autre registre, Miles Davis disait qu’il n’aimait pas la “trompette trompette” — répéter deux fois le même terme, loin de d’affirmer plus avant la réalité du signifié semble au contraire dénoncer les limites d’une interprétation bornée.)
Le travail pour le prof consiste à être celui qu’il est. C’est cela qu’il vient montrer aux étudiants. Quand il quitte la salle de cours, son travail reprend — la pratique.
Dérouler des connaissances à un troupeau trop niais pour aller les chercher par lui-même, ce n’est pas un travail. C’est une corvée, un contre-épanouissement.
Autant visser des bouchons sur des bouteilles planté devant une chaîne de montage toute la journée.
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Merci à tous
Notes & Silence 
Cela peut aussi être le fait de laisser l’autre (les autres) ressentir, afin que ce ressenti devienne partage, et que de ce partage naisse la magie, magie dont il restera cette trace indélébile, cet héritage, que l’on peut nommer Amour. C’est toujours ce que je garde de mes enseignements, tant dans le domaine du Reïki, que pour la Réflexologie, le Shiatsu, le Métamorphique ou le Yoga. Et là, je suis très très loin de la corvée…….
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Susciter la réflexion afin de faire émerger la connaissance, plutôt que de l’imposer, à l’image de la méthode socratique 😉
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Oui tout à fait, Alain…
Merci à vous pour votre lecture..
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Susciter la réflexion afin de faire émerger l, plutôt que de l
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