Il n’y a que tes mots pour enfermer
A double tour, à double attente
Le temps,
Qu’il transforme en caillot
En croûte et la croûte en tissu.
Diminué pourtant des couches amputées par l’impact
Ferme du bruit de ton verbe acéré
Mortaise par le maillet assourdissant de tes yeux
L’espace disparu
La tristesse s’est tue
Il est possible que le temps
–le temps plus que tes gestes–
Finisse par absorber les liquides de vie
Répandus sur le sol.
©FJ April 2021 –
Groupe de Pratique
Recueils — Participations
Many thanks to all.