Les outils mis à disposition par les spiritualités orientales et les systèmes desquels ils sont extraits — je pense ici au bouddhisme et à ses outils de méditation – approchés en tant qu’outils, n’offrent en réalité aucune transcendance.
L’enseignement profond qui réside ici est justement le constat de cette impasse qui est l’occasion d’approcher cette nature de transcendance, le propre de notre être: l’appel à l’Être.
C’est l’endroit précis où la pratique de la méditation nous dépose et où elle nous invite à la déposer. A l’instant où la pratique cesse, la pratique commence.
Pour poursuivre sur la voix de l’apaisement, sur la voie de l’accueil et de la sérénité…
