A un moment, sur le chemin , il faut que l’homme se trouve en solitude.
Sans livre, sans maître, sans dojo, sans regard…
Qu’il passe au travers de l’arche de l’assise nue.
Que nu, il passe par l’arche de l’assise.
Là, il verra son coeur, ample et robuste,
le guider sans faillir dans cet océan de confiance.
Autour, dedans, dessus, dessous,
il renaîtra pour toujours.
