L’attrait pour le zen semble frapper plus intensément les pélerins à l’égo proéminent et aux facultés cognitives développées…celui-ci, plus ou moins consciemment, fournit un alibi satisfaisant.
Il justifieront alors d’autant plus cet attrait pour le zen qu’ils seront confrontés à des traditions exigeant que l’égo et la raison se fracassent contre les rochers avant d’entrer dans la Grotte.
