Ce Dieu dont parle sans cesse le Saint Livre peut être compris comme un Dieu présent,
Il donne alors naissance à tout un déroulement de rituels
Le pratiquant pourra aller à sa rencontre, le louer, l’accueillir…
Egalement, toutes ces références au divin peuvent aussi être comprises comme un Dieu de l’absence, une tentative habitée de pointer sans cesse en amont de l’amont,
La source, le point indéfinissable où naissent les cours d’eau.
Cette lecture du Dieu de l’absence renseigne sur la disposition primordiale, ce qui se passe au cœur vide des mondes et les fait tourner, les maintient en existence,
Le Dieu de l’absence, alors, au travers des mots de présence parle à notre conscience,
Elle plonge en un éclair le long du canal unique,
Elle fait corps, enfin avec la Claire Lumière.
Notes & Silence 
Je crois que le divin ne se limite pas à ce que nous voyons ou comprenons.
Il est à la fois l’évidence qui éclaire nos vies et le mystère insondable qui nous invite à chercher plus loin. Parfois, je ressens cette absence comme un appel silencieux, une porte vers l’infini.
Merci pour ce partage très inspirant, bonne journée 🙏🌞
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merci à vous, Lucia.
Cette porte vers l’infini, l’appel silencieux,
dont vous parlez,
Cela semble être le langage naturelle de notre âme.
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