Si, de toutes les mains tendues, j’ai saisi celle de l’Assise, c’est parce qu’elle m’apporte, par son grand silence, l’espace pour respirer, l’espace dont j’ai besoin.
Partout ailleurs, ce silence est disponible, offert, identique, mais il se présente après un cheminement de paroles, de gestes…
Celui-là que j’avais fait et que je ne pouvais suivre à nouveau, même s’il s’agissait d’entrer sous un portique indiquant « spiritualité ».
Et dans l’assise, encore, la Main Tendue.
