La plante qu’aujourd’hui j’arrose Est-ce celle qu’hier au matin Je voyais ? Ou bien est-elle une autre, Différente de peu? Totalement nouvelle? Disparue en tout
La plante qu’aujourd’hui j’arrose Est-ce celle qu’hier au matin Je voyais ? Ou bien est-elle une autre, Différente de peu? Totalement nouvelle? Disparue en tout
Harmoniques discrètes, derrière chaque vocable, Sonnez subtilement mes tympans dilatés, Tambourinez gaiement vos fragiles poignets Sur le bois éternel de ma porte d’érable, Et contez-moi