La meilleur façon de ne pas vieillir est de cesser de lutter pour ne pas vieillir.Ainsi, en vieillissant, nous ne vieillissons pas.La sortie du processus

La meilleur façon de ne pas vieillir est de cesser de lutter pour ne pas vieillir.Ainsi, en vieillissant, nous ne vieillissons pas.La sortie du processus
La Voie Du Bouddha tient ensemble ces deux mondes.La force des conditionnements, lancée depuis des ères incalcaculablesEst implacable. Elle détermine la réalité de tous et
Dans les Béatitudes, le Christ ne fait pas l’apologie de la souffrance ou du malheur (« bienheureux les pauvres … »), il montre la voie de la
Tant que tu seras l’objet de ce qui te retient en zone de souffrance – ton addiction à la fréquentation des zones superficielles de ton
En désinvestissant l’attachement aux issues souhaitées, la souffrance disparait. ©FJ March 2022Recueils — ParticipationsTelegram (Publications et Pratique)Many thanks to all.
Les points d’achoppement au quotidien sont de merveilleurx indicateurs du travail de polissage qu’il nous reste à accomplir.Dit comme celà, la tâche semble douce, presque
Thich Nhat Hanh rapppelle que le Bouddha a professé le concept de vacuité / ku/ emptiness pour neutraliser celui que nous avons de notre existence
En Zazen, toute mes incomplétudes passent, sans me blesserL’autrefois lamentable, laisse une trace évanescente,Dans un paysage sans borne,Elles peuvent se laisser aller,S’éteindre,Sans s’amplifierL’instant qui porte
La méditation ouvre à l’application de ce processus. Il s’agit d’une boucle qui se forme. Elle commence par “la” place que j’occupe dans le monde,
L’une a la prétention d’aider la personne, elle est à visée thérapeutique.L’autre, hormis sous les barbes des récupérateurs, n’a aucune prétention.Elle n’a pas de visée autre
Objet de transcendance (dualisme) ou objet à transcender (souffrance)…Je ne suis pas sûr qu’il s’agisse d’une question pertinente.Celle-ci ne repose en réalité que dans le
Celui qui sait entendre saura qu’à chaque fois que je m’adonne aux ragots, que je médis, j’enferme l’autre dans un tourbillon de mots secs, et
Matthieu, une fois encore en était arrivé à ce point de butée. Il avait laissé son coeur fondre sous le feu de l’accueil divin.Entretien silencieux
Il y avait ce contraste vivifiant, qu’il ressentait dès que le contexte de sa vie autorisait un éloignement géographique…Et l’étouffement au retour dans ces murs
Tous ces méandres, ces jongleriesNe mènent à rien.Ils m’enfoncent dans la nuit.Leurs routes se reserrent et j’y meurs étouffé.Seul, je l’ai fait. ©FJ Sept 2021