L’ami qui s’ignore est celuiQui s’approche de nousQuand le silence inconfortableNous laisse seul face au mondeEt qui, sur un plateau,Sert à notre âme les mots

L’ami qui s’ignore est celuiQui s’approche de nousQuand le silence inconfortableNous laisse seul face au mondeEt qui, sur un plateau,Sert à notre âme les mots
La tristesse électrique d’un bus retourtraverse les villes indifféremment.D’habitude seuls, dans l’attente de l’après, les passagers patientent les oeillères fermées en tunnel de soirée, Je
Couple: Deux Êtres Félins pour L’Autre. ©FJ Sept. 2021 – All Rights ReservedArticles are available as books and e-books : RECUEILSThis content is made possible
Je sors de zazenBien que tous les jours assis,Je sors de zazen Pour la première fois depuis tant de temps.Je pense à Sawaki Kodo, souvent…À la
Je crois qu’il y a deux types de personnes, deux sortes d’êtres humains.Il y a les êtres de poésie et les êtres de pouvoir. Chacun
Bout de moiMoi debout Pour sauver le navireDans sa traversée folle des nappes de l’obscurJe ne sais comment il finit par atteindre le rivageDu jour.
A la bizarrerie,Au pittoresque que vous voyez,Et qui a si longtempsInoculé sa culpabilité sourde,Il répond en vous regardant. …Dans vos gesticulations obsessionnelles (myopie ridicule, étroitesse
Je préfère feindre le manque d’empathie que m’adonner à l’empathie ostentatoire.L’impudeur de la compassion qui se déploie dans un alignement gesticulé me heurte comme la
N’attendant plus rien,L’entendement peut se faire jour. Elle comprit que si elle s’était trouvée là, à l’instant du saut à pieds joints, ce n’était pourtant
1/4,2/4 — Les mains dans la pochePour étreindre au cœur de la paumeL’objet de ma foiL’écho des ailleursLa solution des ici. La pierre douce, veloutéeDevenue
Julie était restée stupéfaite,Défaite de stupeur.Elle se tenait depuis deux jours en état de choc.Les quelques fois où elle tentait d’en filer, pour tromper la
J’ai vu le monstre qui t’habiteToute la laideur dans tes yeuxLa cage était elle trop petite ?Aurait-on dû la fermer mieux ?Toujours est-il qu’il s’est
Observe bien le circuit des répétitions.Celui auquel l’autre condamne ton esprit. Derrière le bruit des moteurs,Assieds ton regard froidEt vois les tours incessants,Où se rejouent
Assis en zazen, ce sont parfois les méandres de l’autre que je fouille.S’il y a magie, elle est là.Car, ce faisant, je lui trouve l’espace
La contraction intérieure de tout ton être. Voilà ce qui provoque un tel épuisement en fin de journée.Tout tendu.Position de défense, comme on contracte les