Celui qui sait entendre saura qu’à chaque fois que je m’adonne aux ragots, que je médis, j’enferme l’autre dans un tourbillon de mots secs, et amers,
je ne parle en réalité que de ma propre souffrance à être, de mes insécurités.
Le sage qui a transpercé la souffrance et ne craint plus ses fragilités, sait qu’à chaque fois que je me laisse aller à critiquer, à rabaisser autrui, je creuse un peu plus les arènes de souffrance.
©FJ Nov 2021
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