Il m’apparaît aujourd’hui que, dans cent pour cent des cas, la colère est précédée de douleur….et que cette dernière, souvent sourde et embuée, aime à se tapir dans la demi seconde qui précède l’explosion de colère…ce qui la rend encore plus difficile à traquer. Ainsi, elle est toujours prête à bondir, habillée de colère pour ne pas être vue.
