solitude de l’homme
sans papier ni crayon
où aller épancher
sa peine à vivre ici ?
chaque feuille est buvard
Pour la tristesse d’encre
vider les reservoirs
sur le papier du soir
et tous les grains bien engorgés
pourront se dissoudre au bûcher
enfumées les paupières
cesseraient de couler
tourner la page est consumer
les pleurs absorbés d’un auteur
Franck

Très beau texte…
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