An English Version: The True DojoTelegram (Publications et Pratique) Zazen est la pièce où l’on se rend pour pleurer de solitude,De tristesse pleurer, ou pleurer

An English Version: The True DojoTelegram (Publications et Pratique) Zazen est la pièce où l’on se rend pour pleurer de solitude,De tristesse pleurer, ou pleurer
(à C.)Réponse entendue à une banale question : “Globalement, je suis triste”« Ce bilan comptable déficitaire fait état d’un manque à gagner au guichet du bonheur.Ce
Tu souffles les bourrasques des particules aimantées qui s’infiltrent en mon esprit.Elles me volent au présent, et plaquent mes paysages intérieurs au tableau de la
Ce qui me donne envie de pleurer : – Les leurres d’existences présentes : les heures alignées par dizaines de milliers et passées à prétendre
Je ne sais pas répondre à tes larmes qui coulentSans prévenir, elles me noientIl ne me reste alors que des planches de cris pour ne
Aucune fête nationale,Ni de passage à l’an nouveau.Pourtant les artifices explosentEt mettent mon ciel à feu et à sang.Tous les anniversaires sont manqués. Derrière le
Matthieu s’était souvent posé la question de ce qui avait bien pu les réunir. Il se la posait d’autant plus lorsque la forme se mettait
Je pense que si l’activité professionnelle fatigue tant, c’est parce qu’elle agit tel un brouilleur de notre réseau naturel.Je pense que la situation est encore
N’attendant plus rien,L’entendement peut se faire jour. Elle comprit que si elle s’était trouvée là, à l’instant du saut à pieds joints, ce n’était pourtant
1/4,2/4 — Les mains dans la pochePour étreindre au cœur de la paumeL’objet de ma foiL’écho des ailleursLa solution des ici. La pierre douce, veloutéeDevenue
J’ai vu le monstre qui t’habiteToute la laideur dans tes yeuxLa cage était elle trop petite ?Aurait-on dû la fermer mieux ?Toujours est-il qu’il s’est
Lorsque l’absence de sens,Dans laquelle tous se noient, Est détectée par les capteurs,Restent l’ennui, le chagrin. Restent l’ennui, le chagrinPour éteindre l’absenceQui s’obstine à poser
Si, arrivé au bout de tes capacités,Tu ne sais plus porter ta solitudeSi la tristesse te pèse aux mains,Aux jambes comme au cœur,Si les mots
On n’y pense pas, et pourtant… Comme il est possible de laisser les pensées (et leur support) vaquer à leurs activités,Ce qu’elles font dans tous les
En cette veille particulière, sentiment familier, confortable et lancinant, je me laisse fondre dans ce doucement triste Comme ces musiques écrites dans une tonalité