Tu souffles les bourrasques des particules aimantées qui s’infiltrent en mon esprit.
Elles me volent au présent, et plaquent mes paysages intérieurs au tableau de la classe,
A la blancheur ternie par l’absence des soleils qu’il n’a pu refléter,
Par la fenêtre, pourtant, les astres passent encore souvent.
Je connais la formule pour que les statiques nocturnes s’enfuient vers d’autres esprits.
Moins aguerris, plus perméables ou n’ayant pas encore ouvert la fenêtre de l’écrit
Aux marges des bruits
Seul dans ma pièce
Une nostalgie de l’inconnu encore
vient battre mon cœur au lointain.
Voilà longtemps qu’elle n’éclairait plus le ciel de mes nuits.
Hurlement de loup au sommet du rocher,
au ralliement des siens
Perdus en chemin.
©FJ August 2021
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