Certains arbres, nous dit-on, s’éveillent la nuit.Ils fournissent, en scintillant, le cadre d’existence à toute une peuplade d’êtres qui s’agitent alors tandis que sommeille notre

Certains arbres, nous dit-on, s’éveillent la nuit.Ils fournissent, en scintillant, le cadre d’existence à toute une peuplade d’êtres qui s’agitent alors tandis que sommeille notre
Comme un vieil acteur sur le retour sonne faux de tout son êtreLorsqu’il tente de reprendre ses poses de jeunesse et ses réflexes de plateaux,On
Tu souffles les bourrasques des particules aimantées qui s’infiltrent en mon esprit.Elles me volent au présent, et plaquent mes paysages intérieurs au tableau de la
La respiration s’alourditL’esprit sombre dans le sommeilJ’entends l’angoisse de l’intérieur et vois l’esprit gentiment divaguerJe sens les effets réparateurs de cet espace investiDérouler leurs mécanismesJe
Au bord, juste au bord de la chute, le long du précipice de sommeil,Du bout des doigts, les mondes se touchent.Et dans les rails des
« D’ailleurs, si je suis encore prisonnier de ce mur d’ennui, de ces cloisons de nuit c’est que je n’ai pas appris tout ce que je
« Sortir du corps » Drôle d’idée. Pourquoi ne pas l’emmener ?Pourquoi partir et le laisser ? Et où aller sans le corpsPuisqu’il héberge les mondes ?Vouloir
Ton doigt, en circuit lent et veloutéAux contours de mes oreillesRabattues par les vents. Aux carreaux de la nuitLa pluie d’automne ruisselanteMon corps détendu et
Une d’entre elles attrapée,Entre mes deux doigts regardéePour ce qu’elle est. Les voici toutes de nuits qui défilentPourtant toutes à mes yeux de valeurs identiques.Vedanas,
Il est certain qu’un chemin sans errements et sans hésitation n’est pas un chemin. C’est un tunnel brutal. Le chemin spirituel, s’il mène droit au
To obsessed experiencers, aspiring NDErs, would-be OBErs, I’d like to remind this: You should never let the magic of you night travels and their secret
Si le cadre conceptuel qu’ apportent les religions nous attire tant, c’est qu’il joue le rôle de couette épaisse et colorée, de celles qui rassurent
Ce qui m’abîme tant et me traîne si souvent dans la douleur des nuits sans nuits, ce que j’incrimine comme la source unique de mes
C’est bien l’absence d’acceptation qui est à l’origine de l’impossibilité de se rendormir. Elle est la mère de la colère que l’on prend souvent pour
Aies confiance sous les crépitements épuisants de tes atermoiements couve le feu sacré. Et dans ces instants où tu habites successivement les dix mille points