Les diététiciens n’ont de cesse de répéter qu’entre deux paquets de biscuits, il faut toujours mieux choisir celui dont la liste des ingrédients est la plus courte afin d’être certain de repartir avec le produit le plus sain.
Au pire, le moins nocif.
J’aurais tendance à recommander un comportement similaire lorsqu’il s’agit de s’adonner à une pratique spirituelle. Choisissez toujours celle pour laquelle les cadres conceptuels, spécifications et aspects techniques sont les moins nombreux. Dans le doute, cette approche est certainement la plus saine, la plus sainte.
Au pire, la moins nocive.
Les ingrédients à éviter absolument sont ceux de qui visent augmenter la dépendancémie. Ils se cachent sous des appellations sucrées.
Prenez également garde aux conservateurs, leurs stratégies de survies en tant que systèmes est redoutable.
Enfin ne vous laissez pas leurrer par les colorants et autres adjuvants : ils offrent une focalisation sur les exotismes culturels.
C’est en leur raison que l’on choisit une pratique pour sa couleur non-locale plutôt que pour ses apports nutritifs réels.
Un pratiquant averti en vaut deux.
Franck Joseph
De fait, je préfère toujours dire que nous ne détenons rien, et que Cela se déploie comme une évidence. Ce n’est pas plus que la rosée du matin, miracle perpétuelle de La Nature en Son Innocence…
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Un pratiquant qui perd son innocence, n’est plus un pratiquant.
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C’est très beau, merci….
Vous tenez l’essence de « l’esprit du débutant »
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Merci Franck. Je te souhaite Le Perpétuel Printemps. 🙂
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