Difficile de marcher sans se tremper,
Sans se mêler aux effluves des résidents.
Puisqu’ils sont sédentaires ces odeurs d’âmes se sont densifiées en béton, en papiers, en paysages, en stagnations.
Les quartiers ne sont rien d’autre qu’un reflet du niveau de conscience des gens qui y habitent,
Du peu de capacité qu’ils ont à la présence,
De la façon dont ils habitent leurs capacités de consciences.
En cela, l’univers urbain direct est une manifestation du niveau de conscience collective des personnes qui s’y tiennent,
Attitude délétère, absence d’hygiène,
Propreté des surfaces, propreté de surface.
Et de là également s’ouvrent toutes les possibilités des dynamiques en mouvements par rapport aux flux
d’entrants, de sortants…
Les individus, input et output, sont alors l’expression extérieure de ce que peut être le pouvoir de transformation de l’action, la pensée, la parole, sur l’unité de conscience que représente l’individu.
Franck Joseph
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