C’est quand le souffle est au plus fort que la bougie s’éteint.
Juste au delà de la plus grande agitation lumineuse.
Alors que l’air attise la combustion, qu’au plus près de mon visage, elle me brûlerait presque les sourcils,
Alors qu’elle vocifère de ses plus grands froissements d’air,
Qu’à nouveau règne le silence froid d’éternité
Shiki soku ze ku kusoku ze shiki.
Franck Joseph
Text ©FJ Juin 2020 –
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