Il arrive que la relation à l’enfant soit rendue pénible par la capacité instantanée dont il dispose de nous dérober à notre flux mental, pour nous inscrire dans le sien.
Instantanément– et du fait de la brutalité du rapt– nous rejetons cette expérience et aspirons promptement à réintégrer l’enfermement dans nos considérations d’adultes.
Pouvons-nous ne considérer que le premier aspect de ce phénomène et vivre cette relation comme l’opportunité radicale de quitter le flux qui nous emprisonne et de considérer celui dans lequel nous devenons l’invité-voyageur ?
©FJ Oct 2021
RECUEILS / Participations
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