Les nuées de pensées, qui embuaient la vue et nous faisaient tourner en cercle dans le même quartier mental, alors que nous étions convaincus de traverser la ville mieux que quiconque, finissent par se lever.
Elles dévoilent toujours un paysage de compassion — sous le bitume des pensées, toujours la compassion sauvage.
Tant que cette compassion ne remplit pas la totalité du champ de vision, c’est que celui ci est embué, obstrué…quelles que soient les histoires que l’on se raconte.
©FJ Nov 2021
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