L’Eau Que L’on Boit

L’eau est vecteur d’informations. Elle n’est que cela.

Elle est manifersation de ce principe, sous nos yeux et dans nos corps.
Ce qui est determinant est le niveau auquel l’information s’encode, le niveau d’encodage.

Le niveau de l’impression informationelle determine le niveau d’encodage de l’information et le niveau de reception de cette information.
Ainsi, celui qui ne peut décoder au niveau de l’encodage n’est pas affecté pas l’information.

Lorque celle ci est nuisible, il n’en ressentira pas les effets, puisqu’il n’a pas été informé.
C’est la raison pour laquelle il est si nécessaire de maintenir le recipiendaire dans un état, à un niveau lui permettant de recevoir l’informaiton.

Ce passage d’information s’effectue sur un plan chimique (nourriture, médication, molécules diverses), psychologique (climat de peur, d’anxiété, d’excitation à visée commerciale), energétique…

Ces trois plans peuvent d’ailleurs se chevaucher.

Celui qui prend conscience, par la pratique de la méditation, du recueillement, du niveau de décodage qui est le sien et des mécanismes associés, comprendra de l’intérieur, qu’il lui faudra entrer en résonnance avec des niveaux de langage situés bien en amont sur le continuum qui va du pôle subtil / sérénité, à l’autre côté, le pôle grossiéreté / agitation.

Dans le ruisseau, je mets les mains et reçois des mains même depuis lesquelles l’eau coule.

Cessons donc de nous agenouiller devant les ruisseaux d’eau contaminées par une information brouillée, créatrice de troubles et d’agitation.
Lorsque cette necessité apparaît aux yeux du méditant, cela signifie que nombre de ces flux morbides sont en cours d’assèchement le concernant.
Et si le processus d’assèchement n’était pas entamé, il ne serait pas en mesure de s’en apercevoir.
Cela signifie qu’il cesse d’être compatible au langage d’encodage depuis lequel l’information lui parvient, il cesse d’interagir avec les unités qui relaient ce langage et l’amplifient.

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