En Zazen, je me retrouve libre de toute emprise sociale,
extirpé des boues relationnelles où je m’étais embourbé,
extrait des jeux psychologiques où je m’étais laissé enfermé.
Je touche la pointe du vulnérable extrême et l’invincibilité.
Je découvre que les deux versants tranchants de cette même épée se rejoignent en un point ultime.
A la fine pointe de cette lame, les mondes se percent sans effort.
©FJ September 2022
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Encore une chose et son contraire ?
Finalement n’est-ce pas l’essence du Zen qu’être justement son contraire : être simplement l’existence ?
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Oui, ce que je crois de plus en plus.
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