Je médite car le monde est machine à remous
Et l’assise alors, est remède à la mort, qui chatoie, qui tournoie,
endosse les dix mille parures, joue dans les roues et nous broie,
Puis nous recrache, sonnés, amnésiques, sur le bord de la plage.
Je médite car je sais comment gronde la mort.
Elle passe au travers de nos pores et déverse son acide à sillons,
Tandis que nous conversons en parfaite ignorance de cause.

J’aime ce concept de la machine à remous, c’est tellement vrai
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Bonjour Christine,
Merci pour ce passage!
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