Cette vie anesthésiéeLittéralement dégénéréeOff-track, dévoyéeGuidée par la seule entropieSous les broyeurs du tempsMécaniques. Est-ce à dessein qu’elle se dilue ?Faut-il donc à la fin qu’il

Cette vie anesthésiéeLittéralement dégénéréeOff-track, dévoyéeGuidée par la seule entropieSous les broyeurs du tempsMécaniques. Est-ce à dessein qu’elle se dilue ?Faut-il donc à la fin qu’il
Lorsque le crayon de bois est si petit Qu’il s’apprête à disparaître au prochain tour de taille :Où donc est passée toute sa longueur perdue ?Est-il
Le virus se répand et tout le monde souhaite sa fin. Lui, tente de subsister. Il lutte, il mute et finit pas d’éteindre, impuissant à trouver
L’expérience du silence est celle de la mort.Chacun peut s’y tremper, On cesse de mettre sa bille dans le jeu.Le jeu ne cesse pas pour
Mon corps, en cube de savon, est vraiment làEt ce corps n’a jamais vraiment été. N’ayant jamais vraiment été, il ne disparaîtra pasIl est absent,
S’asseoir en zazen : voir la mort.Se la prendre en plein face.La voir apparaître avec l’alignement du regardLorsqu’il n’y a plus nulle part où fuir.