C’est parce que les gens ne sont pas capables de regarder le monde en face, qu’ils s’identifient tant avec les éléments de surface. Ainsi, ils se coupent de leur être profond et n’évoluent que dans la mince épaisseur d’une coupe superficielle de l’existence :
-Televisions, séries ménagères, programmes façades–approvisionnemnet de kits comportementaux (apprendre à se situer par rapport à, être comme, aspirer aux réalités factices de tel ou tel personnage lui même factice…)
-Mais aussi la couleur des murs, la déco des chambres, la dymanique consumériste dans son versant domestique, le remplissage spatial des lieux de vie (en réalité, l’obsessions décorative contemporaine est le versant spatial des kits comportementaux)
-Encore, la croyance en une réalisation extérieure, en un agencement exogène du monde en notre faveur et par notre action, aspirations professionelles, perméabilité aux discours “corporate”, duperies spiritualisantes (développement personnel)
Regarder la mort en face : qu’est ce que cela signifie ?
Certainement pas une tendance depressoïde, survie atavique d’un à-quoi-bon-isme, résigné, ni une attitude adolescente de défi empreinte d’arrogance et de lamentable ignorance.
Regarder la morte en face,
Vivre pleinement,
Fendre la croûte d’existence,
Lustrée par les sucreries psychologiquee en provenance des usines médiatiques, politiques, sociales, culturelles.
En fait : regarder la mort en face et habiter l’instant
Cela signifie la même chose,
L’un permet l’autre,
Il faut regarder la mort en face pour vraiment habiter l’instant.
En habitant l’instant, l’essence même de la vie apparaît.
Lorsqu’elle éclaire, l’essence de la vie permet de voir la mort en face.
Parce qu’elle est l’essence même de la vie.
L’expérience de la mort en face n’est ni vision dépressive, ni défiance bravache.
depuis la mort de mes parents, je la regarde en face, moins superficielle et vis mieux l’instant présent….,
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Bonjour Anne,
Merci pour ce partage
Amitiés,
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