Si j’aime tant la vérité, c’est parce qu’elle est teintée du goût de la sérénité.
Lorsqu’advient ce qui demandait tant à advenir, cela est teinté d’une délivrance.
Délivrance du mensonge entretenu jusqu’ici.
Alors la paix factice, instable que l’on achetait à grand coût, sans s’en rendre compte, éclate en mille morceaux et, laisse place à une paix réelle, profonde, sans égal.
La paix qui attendait que nous la rejoignions.
L’épouse qu’en réalité nous appelions depuis toujours.
Franck
Notes & Silence 
C’est tellement vrai ce que vous dites
Quand on arrive à une sincérité, à s’enlever de toute fioriture, à toucher le coeur du vrai et à s’en imprégner pour le devenir soit même, il y a une sorte d’invincibilité, plus rien n’y personne ne peut nous affaiblir parce que même nos failles deviennent nos forces a nos propres yeux et ceux des autres et dans notre propre sérénité nous sommes intouchables parce qu’en Paix. 😊
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Merci pour cette relecture éclairante..
La difficulté est alors de laisser cet état se stabiliser dans le temps.
Passer de l’expérience à l’etat…
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j’y ai vu une seconde lecture dans votre témoignage, inspirante et qui me plonge dans une profonde réflexion et méditation. Merci à vous….
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Très belle réflexion qui me pousse à faire le lien avec la parole du Christ : « la vérité vous rendra libre » .Cela se rejoint sur ces points :
-Nous avons peur de la vérité, car elle brise nos illusions.
-Mais une fois acceptée, elle est la clé de la vraie liberté et de la vraie paix.
Il faut sans doute du courage pour affronter la vérité mais une paix profonde en découle.
Merci pour ce partage ☺
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Merci à vous pour ces lectures…
Très bon dimanche
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Et oui, à vivre dans le mensonge, on en demeure l’esclave…car de sa perpétuation dépend notre propre continuité psychique.
Le courage de la rupture (avec le faux), qui l’a véritablement ?
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Il est possible que les petite arrangements avec nous mêmes soient la pire chose qui puisse nous arriver.
Tractation de vie fictive à court terme pour mort de l’âme sur le long terme.
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Oui…la vérité— et c’est le drame ! — n’intéresse pas grande monde.
Psychologiquement coûteuse, le monde lui préfère le confort de continuer à croire ce sue nous zvpns toujours cru, même si tout hurle à la fraude.
Nous ignorons (j’ignore…) bien souvent que l’entretien du faux est plus coûteux encore, car au final, nous sommes appelés à rejoindre le fleuve de vérité.
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