Il n’est pas aisé de se retenir de faire le parallèle.
Ce qui rend cette tentative difficile est que la mise en avant du parallèle est guidé par un élan de joie,
Aussi, je le fais ici.
D’une part, les enseignements relatifs à la mémoire de l’eau,
d’autre part, l’Eucharistie telle que Jésus l’a enseignée :
“En mémoire de moi”, signifie, avec à l’esprit, mon Esprit,
Avec l’Esprit en soi, ainsi les offrandes seront “sanctifiées”.
Cela guérit vraiment.
Le vin et le pain ont l’eau en leur cœur,
l’eau est le cœur battant du vin et du pain,
sans eau, ni vin, ni pain,
cette vie, nous l’imprégnons de l’Esprit.
Nous la laissons s’imbiber du divin,
Dans la joie du partage sacré, celui-là même qui ne diminue pas à mesure qu’on le divise, quand bien même nous serions seuls, partageant avec le monde,
quand bien même nous serions seuls, nous pourrions partager avec le monde l’Eucharistie…En nos mains,
de la même manière qu’avant zazen, en frappant le bois, nous convoquons l’univers entier à se joindre à nous.
….nous l’ingérons et mettons en acte l’harmonie entre l’Esprit du Christ et le nôtre,
puis nous l’élargissons au monde.
Imprégner de Dieu
imprégner l’Esprit, faire de chaque geste, “mémoire » du Christ,
C’est l’enseignement de conscience.
Et au-delà de la pratique du pain et du vin, notre traversée du monde,
Seul ou en groupe, familial, professionnel,
Chaque parole, chaque pas,
Devient Eucharistie, action de grâces
Et l’existence entière est une célébration.

Que dire d’autre que :Oui !
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Bonjour Stephen
Merci à toi pour cet écho,
A bientôt…
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