Et que m’importe encore cette cohérence d’apparat !
Vous le savez aussi bien que moi
Mais dans votre intérêt, vous aimez à le taire.
A celui qui connait les mots et peut les faire
Rimer, rien d’impossible.
Pourquoi courir encore les applaudissements blasés d’un cercle de neurones emplafonnés ?
Pourquoi vouloir encore refourguer sa quincaillerie mentale ?
Depuis les estrades de logiques, les pupitres d’intellect, du bruit.
Alors que l’on sait sous les chairs, dans les veines,
Que ces enceintes philosophiques débordent de morne et combien l’amertume de leurs jeux de concepts
Détourne, puis détruit.
Franck
