Il faut avoir passé les étendues sèches où les doigts se craquèlent
quand les fumées blanches de l’haleine contre les paumes dressées
sont impuissantes à réchauffer le visage.
Il faut avoir traversé les forêts humides et glaciales
senti l’obstination du froid percer son chemin
jusqu’aux moelles des os.
Pour recueillir le cœur fondant de l’homme
sous le souffle divin
Franck Joseph
©FJ Jan 2019
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Très beau. je te souhaite beaucoup de lumière pour 2019
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merci…et de couleurs à toi également
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