Plutôt que de relation sexuelle pour qualifier ce qui émane du monde, ce que l’on entend et devine derrière ce qui se dit de ce qui se vit, il conviendrait de parler d’acte sexuel.
Définitivement … l’acte sexuel, comme déversoir des frustrations, réceptacle et antichambre des compensations, cesse d’être un angle d’intérêt.
Cette conception était le reflet d’un plafonnement de la capacité créatrice (puisque reproduction des modèles induits ou issus de la chaîne frustration/compensation).
Je ne peux m’empêcher de constater qu’il y a dans cette perspective un plafonnement.
Plus qu’un plafonnement en soi, il s’agit d’un reflet d’un plafonnement de l’être.
Reflet d’un certain plafonnement spirituel, ici comme ailleurs, à la fois se reflétant dans l’extérieur et nourri de cet extérieur médiatico-consumériste.
Terrible plafonnement, car il reflète l’incapacité dans l’instant de transcender les champs d’investigation binaires: dominé-dominant, satisfaction-frustration,
C’est d’ailleurs sur ce terreau d’insatisfaction que la pornographie prolifère.
Franck Joseph
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