Toujours, cette relation corps / vêtements : elle s’exprime de manière multiple à travers l’existence.
Ici, cette nuit, voici la forme qu’elle prend :
Le problème n’est pas la chose : le vêtement — en l’occurrence, le discours, souvent frénétique, à la fois cyclique et chaotique, qui maintient éloigné de toute perspective de sommeil.
Ce qui mérite notre observation est l’énergie : le corps du discours-vêtement.
L’energie-corps porte le discours-vêtement
L’énergie est ce qui donne corps au vêtement du discours. Tant que l’énergie demeure, il y aura toujours un discours qui émergera pour la revêtir.
Voici que se présente, de nuit et – à bien y réfléchir– dans un contexte optimal (silence, solitude, réalité aiguë, état de conscience débridée….), une porte de l’éveil.
Text ©FJ Dec 2020 –
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